TypeScript c’est le pied, mais pas “from scratch”. On aime ce que propose Vue, Angular ou encore React en mode “dev” (live reload, HMR, etc…) - alors comment on fait sans framework ?
J’en ai parlé il y peu de temps en Go mais je sais que beaucoup d’entre vous utilise Javascript. Et justement, l’utilisation de closure en JS est très intéressante.
Angular2 est en phase “beta” depuis maintenant quelques semaines et je pense qu’il est temps de parler de mon expérimentation sur le sujet. Je ne vais pas vous proposer une documentation mais plutôt un genre de “howto” de mon point de vue.
NodeJS, JQuery, Mootools, HTML5… le javascript s’est imposé. Mais un sujet encore mal compris par beaucoup de développeurs JS me saute aux yeux. Depuis que je développe Knotter et que j’ai l’occasion d’en discuter, la tendance se creuse: beaucoup n’ont pas bien assimilé le concept de closure.
Il fut un temps pas si lointain où créer un site web entrait dans une logique saine de construction de pages. Chaque contenu était bien défini et les applications étaient un jeu de question-réponses entre le client et le serveur.
Et bien on y est. Je me suis lancé un défis il y a quelques semaines et il est réalisé en quelques temps. Knotter, mon microframework NodeJS passe en version 0.